"Tu aurais dansé entre les premiers flocons de neige dans la nuit trop noire, essayant, la tête renversée et les yeux fermés d'en avaler quelques uns, comme un pain d'éternité ; tu aurais senti l'infini de l'hiver, apprivoisé la solitude et oublié l'existence même d'autres saisons" (p. 28 du recueil "Terre d'enfance").
Nous aimons souvent les paradoxes ; aussi, je vous propose, en cette soirée caniculaire d'août 2012, de découvrir les paysages lumineux, sous le soleil bleu de décembre, de ce coin de terre.
Les greniers...fermés |
Est-ce là, le Paradis blanc ?
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